Le 17 septembre 1898, « La chronique mondaine, littéraire et artistique » publie l’annonce du mariage à Vendémian, le mardi précédent, de Pauline Vidal avec Frédéric Bertrand.
Décès de Delphine Roques à Montpellier
Dans L’Indépendant du 1er avril 1845, à la rubrique « Décès », l’annonce du décès, le 25 mars, de Delphine Roques, 34 ans, née à Vendémian.
L’acte de décès de Delphine Roque, en date du 25 mars 1845 à Montpellier, nous apprend que celle-ci est décédée à l’hôpital général, la veille à 11 h du matin. Il est
Lire la suiteDes vendémianais jurés d’assises
Pour la session du 4ème trimestre 1849, qui s’ouvre le 27 novembre, sous la présidence de M. Pégat : Pierre Faucil fils, propriétaire à Vendémian.
Pour la session du 1er trimestre 1852, qui s’ouvre le 15 mars : Augustin Liron, distillateur, domicilié à Vendémian.
Décès de François Faucilhon à Montpellier
Dans « La République du Midi, journal politique quotidien » du 7 décembre 1893, à la rubrique « Etat civil du 3, 4, 5 décembre » est publiée l’annonce du décès de « François Faucillion, commis, 65 ans, né à Vendémian, veuf Clavière ».
On trouve dans les registres d’état civil de Montpellier de 1893, l’acte de décès de
Lire la suiteLes garde-champêtres de Vendémian
Le corps des garde-champêtres est crée en 1791, chaque commune à l’obligation de recruter au moins un garde.
Pour pouvoir postuler à cet emploi, il faut avoir au moins 25 ans, savoir lire et écrire, être en bonne condition physique, faire partie des vétérans nationaux ou des anciens militaires pensionnés ou munis de congés pour blessures. Le choix du garde-champêtre appartient au maire qui doit soumettre son choix au conseil municipal. Le garde champêtre doit prêter serment devant le juge de paix du canton.
Lire sur Gallica, le « Recueil chronologique de lois et actes de l’autorité publique. Bois et forêts. 1789-1799« .
Au fil de mes lectures, je reconstitue la liste des garde-champêtres successifs de Vendémian.
Lire la suiteLa Porte Notre-Dame
Un dessin, édité en 1822 de Jean-Marie Amelin, (1785-1858), qui fut professeur de dessin à l’Ecole régimentaire du Génie de Montpellier.
Pour en savoir plus sur ce dessinateur, un article publié par les Etudes héraultaises.
Il est possible également de lire et/ou télécharger l’ouvrage écrit par Jean-Marie Amelin en 1827 : Guide du voyageur dans le département de l’Hérault.
Décès de Jacques-Ciprien Marcon à Montpellier
Dans L’Union nationale du 8 décembre 1873, à la rubrique « Etat civil de Montpellier », l’annonce du décès de Jacques Cipion Marcou, 65 ans, né à Vendémian, veuf Connes.
L’acte de décès, contenu dans le registre de décès de 1873 de Montpellier, indique que le prénom exact de M. Marcou est Jacques-Ciprien et que son patronyme est Marcon et non Marcou. Celui-ci est décédé le 6 décembre, à 5 h, au numéro 7 Grand’rue. On peut
Lire la suite1888, le Conseil municipal de Vendémian défend la viticulture
Le 3 novembre 1881, la France et l’Italie avaient signé un traité de commerce. Le 15 décembre 1886, l’Italie informa la France qu’elle voulait y mettre fin au 1er janvier 1888.
Les deux pays ouvrirent des négociations en vue de la signature d’un nouveau traité de commerce. Durant les discussions, il fut convenu que les termes de l’accord de 1881 continueraient à s’appliquer.
Des rencontres bilatérales eurent lieu du 31 décembre 1887 au 2 février 1888. Elles n’aboutirent pas. Le 27 février 1888, le Parlement français vota des surtaxes à l’entrée des produits italiens. En réponse, le 29, le gouvernement italien fit de même pour les produits français entrant sur son sol. Ces deux nouveaux tarifs entrèrent en vigueur le 1er mars 1888. Ils eurent pour effet de diminuer drastiquement les échanges commerciaux entre les deux pays. Ils restèrent en vigueur, sans changement, jusqu’en janvier 1890.
A Vendémian, le 21 janvier 1888, le Conseil municipal fut convoqué en urgence pour le même jour à 19 h en vue d’émettre un vœu sur les traités de commerce. Cette motion fit l’objet d’une publication dans les quotidiens « Le petit méridional » du 24 janvier et dans « Le journal de Cette, journal du commerce du sud-ouest » du mercredi 25 janvier. Dans cette dernière publication, la reproduction de la motion était accompagnée du texte suivant : « Le Conseil municipal de Vendémian a émis le vœu suivant, que nous reproduisons pour cet unique motif qu’il nous paraît résumer tous les desiderata des viticulteurs de l’Hérault et, aussi très probablement, des viticulteurs du Midi« .
Lire la suiteUne plainte déposée par les protestants de Vendémian
Ce texte fait état de la plainte, exposée le 3 juin 1629, auprès de Estienne de Lafabrègue, premier consul, et du Conseil de Direction du Vigan par David Cabanis et Guillaume Lardat, habitants de Saint-Pargoire et des gens du Pouget, de Vendémian, de St-Jean de la Blaquière, tous protestants, au sujet des mauvais traitements qui leur ont été infligés par Jean de Boyer, seigneur de Camprieu et des militaires sous son commandement ainsi que des sommes d’argent qu’ils ont été contraints de leur payer.
Le récit porte sur ce qu’il s’est passé à Saint-Pargoire. J’indique ci-dessous la deuxième partie qui concerne Vendémian.
« … le 24 de décembre dernier, led. sr de Camprieu, accompagné du Père Bonaventure, de dix soldats et de dix carabiniers, se rendit à Vendémian et prit logement chez ceux de la religion, ayant logé le 24 chez M. Arnaut, notaire, qu’il força d’aller à la messe et de faire abjuration ; puis il se changea à la maison de Mathieu Faucilhon et lui en fit autant, puis chez M. Roques avec les sudits gardes et soldats qui firent grands dégâts et ravages en sa maison, et même le sr de Camprieu le battit grièvement et lui donna plusieurs coups d’éperons jusqu’à ce qu’il l’eût forcé d’aller aussi à la messe. Il continua ainsi d’aller loger de maison en maison jusqu’à ce qu’il les eut contraints et forcés de se révolter et pour y parvenir plus facilement, outre les menaces de les emprisonner et les faire mourir eux et leurs familles, faisait tenir les ports dud. Vendémian fermées pour empêcher qu’aucun ne pût sortir dud. lieu. Boulet, cordonnier, était parvenu à s’échapper avant qu’on n’eût pris garde à lui. Il levoit 30 livres par jour pour lui ou pour les carabiniers sur ceux de la religion de Vendémian, après les avoir fait révolter et 6 livres pour ledit Bonaventure. S’étant retiré de Vendémian il alla en faire de même au Pouget, et au-delà s’en serait allé, ainsy qu’ils auraient ouy dire, en la ville de Gignac pour faire aussi révolter tous ceux de la religion de lad. ville » .
Décès de Pierre Jean François Lagrifoul à Montpellier
Dans Le Courrier du Midi du 16 janvier 1840, à la rubrique « Décès et inhumations à Montpellier, du 28 décembre 1839 au 10 janvier 1840 inclusivement », l’annonce du décès de Pierre Jean François Lagrifoul, chocolatier, 55 ans, né à Vendémian (Hérault) en date du 2 janvier.
L’acte de décès de Pierre Jean François Lagrifoul, contenu dans le registre de décès de 1840 de Montpellier, confirme que Pierre Lagrifoul est décédé le 2 janvier 1840 à l’âge
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